Le plan était vu d’avance. Troyes, en manque de points, était venu en priorité pour défendre en terre morbihannaise. Avec le doux espoir d’accrocher le point du nul ou mieux. Un souhait logique au vu de la forme de l’équipe : cinq matches sans défaite (trois victoires, deux défaites) et aucun but encaissé. Autant le dire clairement : cela sentait le piège à plein nez pour le FC Lorient. Mais les hommes d’Olivier Pantaloni ont maîtrisé leur sujet et su s’adapter tactiquement au plan audanien. Morts de faim à la main offensivement lorsqu’ils évoluent devant leur public, les Merlus ont su être patients. Très patient.
« Un match que je craignais »
Face au 4-5-1 extrêmement compacte des Troyens, il était difficile de trouver…