From Benjamin Lavernhe and Pierre Lottin

From Benjamin Lavernhe and Pierre Lottin
From Benjamin Lavernhe and Pierre Lottin

Je suis fan de Benjamin Lavernhe,
Je suis fan depuis l’Homme des Cavernes.
C’est un comédien en or qui a Le de la Fête,
Comme Daniel, quand avec des potes, il joue à la crapette.

Je suis fan, fan, fan de Pierre Lottin.
Il prouve qu’on peut sortir des Tuche et avoir un destin.
Faut dire qu’il s’est fait opérer pour perdre l’accent du ,
C’est con, Sabatier aimait bien l’idée de Pierre du Nord.

Et vous êtes là ensemble pour le film En fanfare.
Je l’ai pas vu, mais j’crois qu’ça parle des enfants-phare.
C’est génial que des enfants puissent guider des bateaux,
Mais le Costa Concordia, c’était le coup de trop.

Je plaisante, je sais que c’est sur une vraie fanfare.
J’ai juste dit ça car je suis sacré rigolard.
Pour vous montrer que je prends votre film au sérieux,
J’ai une surprise pour vous : c’est la grande fanfare du Perreux.

La fanfare « Du vent dans le tuyau »

  • Ben Alain, vous êtes tout seul ?
  • Ben oui.
  • Mais vous m’aviez dit que vous aviez une fanfare.
  • Non, j’ai dit que j’arriverai en fanfare.
  • Et ?
  • Et voilà.
  • Ok… avec une flûte ?
  • Exact. Mais je voulais rendre hommage à Benjamin d’Auvergne et Pierre Bottin. J’ai résumé tout leur film en musique. Accompagnez-moi !
  • Je suis déjà déçu, Alain.

Je suis malade.

  • C’est pas très gai.
  • La prochaine est plus fun.

Toi le frère que je n’ai jamais eu.

  • C’est trop triste, Alain, le film est plus gai quand même.
  • La troisième est festive, jouez !

La suite à écouter et à découvrir en vidéo…

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